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mercredi 28 mai 2014

Mort de Mandjara Ouattara en Côte d’Ivoire : abandonnée par le régime Ouattara ?


Mandjara Ouattara est décédée, mardi à quatre heures du matin, au centre des grands brûlés du CHU d’Abidjan-Cocody. Elle avait marqué l’opinion publique en Côte d’Ivoire, après avoir tenté de s’immoler devant le palais présidentiel.

L’évènement avait choqué les esprits en Côte d’Ivoire. La femme qui avait tenté de s’immoler devant le palais présidentiel, la semaine dernière, Mandjara Ouattara, est morte dans la nuit de lundi à mardi. Elle était membre du Syndicat National des Fournisseurs de l’Etat de Côte d’Ivoire (SYNAFECI) et réclamait, depuis plusieurs années, de l’argent à titre de location de véhicules à l’Etat ivoirien. Elle était très proche du Rassemblement des républicains (RDR), le parti au pouvoir.
 
Le gouvernement était resté particulièrement silencieux
Les autorités ivoiriennes, qui étaient restées jusque là particulièrement silencieuses, ont salué sa mémoire. « Le gouvernement s’incline devant la mémoire de cette personne », a indiqué le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné.
La famille de la défunte « sera accompagnée de la meilleure des façons par le gouvernement », a-t-il poursuivi, selon RFI. Mandjara Ouattara était membre du collectif des propriétaires des véhicules de location qui réclame le paiement de 5 milliards de francs CFA au RDR. Le mercredi 31 mai, elle a tenté de s’immoler devant le palais présidentiel, elle est alors secourue par des passants et transférée à l’hôpital.
 
Pour certains, les créances ont été contractées par l’Etat ivoirien entre 2007 et 2010 sous l’ex-Président Laurent Gbagbo. Cette femme décédée réclamerait cette somme compte tenu de la continuité de la l’Etat, selon la même source.
 
http://fome-faits-divers.blogspot.com/2014/05/mort-de-mandjara-ouattara-en-cote.html

vendredi 23 mai 2014

Etats-Unis : violée et séquestrée durant 10 ans, elle témoigne





Kidnappée à l'âge de 15 ans, une jeune femme a été retrouvée après dix années de séquestration en Californie. Son bourreau présumé a été arrêté. Il l'avait forcée à l'épouser et l'a agressée sexuellement. Aujourd'hui, elle retrouve enfin sa famille.

Un cuisinier tue sa femme «accidentellement» et la fait cuire pour faire disparaître le corps


L'homme a expliqué l'avoir fait mijoter à feu doux pendant quatre jours...
«Je l’ai fait cuire lentement. Et finalement elle a cuit pendant quatre jours.» Une cour californienne a diffusé les enregistrements dans lesquels un chef cuisinier explique aux enquêteurs comment il a fait disparaître le corps de sa femme, après l’avoir tuée par accident, rapporte le L.A. Times.
 
David Viens, 49 ans, a indiqué avoir fait cuire le corps de sa femme Dawn dans une énorme marmite et de s’être ensuite débarrassé de ses restes, mélangés avec des déchets alimentaires de son restaurant. L’homme a toutefois plaidé non coupable du meurtre de son épouse, survenu fin 2009.

Une dispute qui finit au placard

Le restaurateur affirme en effet avoir tué son épouse «accidentellement». Le couple, sous l’emprise de la cocaïne, s’était disputé ce soir-là, a-t-il indiqué aux enquêteurs. David Viens accusait Dawn de voler de l’argent au restaurant et cette dernière continuait d’invectiver son mari alors que ce dernier tentait de s’endormir.
Pour couper court au conflit et trouver le sommeil, David Viens a alors décidé de scotcher la bouche de Dawn et de l’enfermer, pieds et poings liés, dans un placard. A son réveil, sa femme était morte. «J’ai paniqué», a-t-il admis.
 
http://fome-faits-divers.blogspot.com/2014/05/un-cuisinier-tue-sa-femme.html

jeudi 15 mai 2014

Quand un chat sauve un petit garçon d'une attaque de chien (vidéo)

Après avoir vu cette vidéo, vous ne serez plus convaincu que le meilleur ami de l’Homme est le chien. Vous aurez même peut-être envie d’adopter un chat de garde…

On peut dire que ce petit garçon l’a échappé bel grâce à son chat. Il jouait tranquillement dans la rue, quand un chien vicieux l’a attaqué violemment par derrière et l’a trainé par la jambe.
En quelques secondes, le chat de la famille s’est rué sur le chien et l’a chassé, s’assurant qu’il ne fasse pas une seconde attaque. Tout est bien qui finit bien, même si les blessures du jeune garçon sont impressionnantes.



http://fome-faits-divers.blogspot.com/2014/05/quand-un-chat-sauve-un-petit-garcon.html

mercredi 14 mai 2014

Adjamé: un père cocufié par son fils dans sa propre maison

Monsieur TK a surpris sa femme en plein ébats sexuels avec son propre fils de 18 ans le mercredi 26 mars 2014, aux environs de 17 heures. L’acte s’est passé dans le lit conjugal. La mère et le fils sont en fuite. Elle avait 15 ans de mariage et 18 ans de vie commune avec son mari. 
 
Selon les explications,  Monsieur TK trouvait sa femme, depuis un certain moment, distante et très nerveuse dès qu’elle l’apercevait. C’est à partir de cet instant qu’il a commencé à la soupçonner d’infidélité. TK va alors mettre un plan stratégique en place afin de trouver son rival.
 
Il pouvait tout s’imaginer sauf  tomber sur cette scène traumatisante qu’il a été obligé de voir par la force des choses. Le mercredi 26 mars 2014, il surprend,  en rentrant dans sa chambre, son fils de 18 ans et sa maman, sa femme, en train de s’envoyer au septième ciel sur le lit conjugal. Le choque est grand et à la fois dégoutant pour le père.
 
Dans la foulée, il tombe en syncope. Le cocufié sera  transporté dans un centre de santé pour recevoir les soins nécessaires. Il y a eu plus de peur que de mal, le malheureux a, finalement, pu retrouver ses esprits. 
Mais, la mère et son fils ont pris la fuite. 
 

Crime à Yopougon-Siporex : un policier tue sa femme au domicile de ses beaux parents

Le sergent-chef Abé Alain a abattu sa femme, le sergent Adon Marie-Laure, le samedi 19 avril 2014, au quartier « Siporex » à Yopougon. Selon nos sources, le policier soupçonnait sa femme d’infidélité. Il lui a mis une balle dans le cou et une autre dans le thorax, rapporte      l'infodrome.com.
 
Selon les faits, tels que relayés par le site internet, Abé Alain et Adon Marie sont tous deux en service à la Direction des renseignements généraux ( Drg). Et depuis 2005, ils vivent maritalement aux « Toits rouges », un autre quartier de Yopougon. 
 
Depuis un moment, le policier a commencé à accuser sa femme d’entretenir des liaisons amoureuses avec un de leurs supérieurs(un commissaire de police). Une autre source soutient plutôt que c'est lui qui a été pris en flagrant délit d’adultère. Mais une troisième source proche du couple indique que Abé Alain, depuis quelque temps, ne serait plus un « garçon pile ». Il serait impuissant. Mais sa chérie n'en fait pas vraiment un problème. Son souci est plutôt son mari qui a complément démissionné des charges de la maison. Les factures, la popote, etc, sont désormais à sa charge. Après l’avoir, à maintes reprises, mis  face à ses responsabilités et sans voir aucune prise de conscience de sa part, elle quitte le domicile conjugal pour s’installer chez sa sœur au quartier « Siporex ». 
 
Le samedi 19 avril 2014, le jour du drame
Le samedi 19 avril 2014, aux alentours de 15h, le sergent-chef se rend chez son beau-frère, à Yopougon-« Siporex ». Là, où s’est retirée sa femme. Il est bien accueilli par ses beaux-parents. C’est sa femme qui est chargée lui apporté à boire. Pour cela, elle se rend dans la cuisine. Au même moment, le sergent-chef demande à se rendre aux toilettes.
 
En fait, il y est allé pour apprêter son arme et revient s’asseoir. Dès qu’il aperçoit sa femme sortie de la cuisine, à la grande surprise de tous, il dégaine et ouvre le feu sur elle. La pauvre est atteinte mortellement au cou. Il tire une seconde fois. Cette fois, la balle atteint le thorax et le coude de la jeune femme de 35 ans.
Dès cet instant, ses beaux-parents essayent de lui arracher son arme à feu. Il réussit à se défaire et tente de s’enfuir. Mais, il n'aura pas cette occasion. L’entourage est alerté par les cris de détresse des parents de la victime.« Il vient de tuer notre sœur ! ».
 
Toute de suite, une cohorte d’individus se met à sa poursuite. Ils arrivent à l’attraper. Pensant avoir affaire à un quelconque criminel, ils le rouent de coups sans état d’âme. Le malheureux est sérieusement marqué dans sa chaire mais sauvé de justesse par des éléments de la gendarmerie nationale en patrouille. Les gendarmes l’évacuent à l'hôpital de la Police nationale, avant d'être transféré dans une clinique.
Une enquête est en cours afin de cerner les motivations réelles qui ont poussé le sergent-chef Abé Alain a tué sa femme.
 
http://fome-faits-divers.blogspot.com/2014/05/crime-yopougon-siporex-un-policier-tue.html

Cocody-Angré/Pour une histoire d’infidélité : des gays et des lesbiennes se battent dans un hôtel

Des gays, appelés pédés par abus de langage, et des lesbiennes se sont battus, récemment, dans un hôtel à Cocody-Angré 7ème Tranche. A l’origine de cette bagarre rangée, une crise de jalousie de Sylvie, une lesbienne, qui reproche à sa chérie de l’avoir trompée avec un gay. 
 
La chérie de Sylvie avait depuis un moment commencé à sympathiser avec Sam, un gay. Et Sylvie ne trouva aucun inconvénient à cette amitié naissante entre sa chérie lesbienne et l’efféminé.  Les deux souvent se permettaient de se taquiner devant elle, parce que Sam est considéré comme une «fille». Mais quelque soit l’efféminité d’un d’homme, il reste toujours un homme.  
 
Et Sam ne fait pas exception à la règle. Dans ses attitudes de garçon efféminé se cache bien un homme viril qui sait utiliser ses bijoux de famille pour satisfaire sexuellement une femme. Certaines langues racontent même qu’il est un habitué de la chose. En tout cas, il ne s'en prive pas quand l’occasion se présente. L’intensité de l’amitié qui se dégageait entre les deux a fini par éveiller les soupçons des amis communs du couple. Ce sont ces derniers qui attireront l’attention de Sylvie sur cette relation qui devenait de plus en plus sérieuse. Ses amis et elle pour avoir le cœur net décident d’espionner les deux tourtereaux. 
 
Ayant eu vent de la présence de Sam et de sa compagne dans un hôtel situé à Cocody-Angré 7ème tranche, grâce à une prostituée exerçant dans les environs de cet hôtel, dans la nuit du samedi 16 novembre 2013, Sylvie et quelques amies débarquent sur les lieux pour surprendre les deux amants. Et là, Sam et sa nouvelle conquête seront tabassés à coups de talons de chaussures et griffés. Le gay est plus ciblé par les lesbiennes. L'efféminé réussira à sortir des griffes de ces frustrées grâce à l’intervention des passants. 
 
Une fois sorti de là, il joint par téléphone son chéri pour venir à sa rescousse. «Chéri, elles vont me tuer ici, viens vite !”, pleurnicha-t-il ou plutôt pleurnicha-t-elle. Ce dernier arrive sur les lieux avec un renfort de trois « copins » ou « copines » ( des gays). Les esprits se chauffent et les injures s’en suivent. Des couteaux et ciseaux sortent des sacs à main. C’est la bagarre ! On entend des cris, des perruques tombent des têtes…
On compte des blessés de part et d’autre. La scène attire la curiosité des passants et des habitants du quartier. 
Des éléments de la police nationale, en patrouille dans la zone, interviendront pour mettre fin à cette bagarre rangée entre gays et lesbiennes. 
Les blessés ont été transportés à l’hôpital.
 
http://fome-faits-divers.blogspot.com/2014/05/des-gays-appeles-pedes-par-abus-de.html